En 1996, Bjarne Riis succédait à Miguel Indurain sur le Tour de France, offrant un nouveau visage au cyclisme de l’après-Indurain. Mais l’image du Danois s’est fissurée dès 2007, lorsqu’il avoua s’être dopé à l’EPO. Aujourd’hui, il pousse son aveu plus loin, sans langue de bois, et assume pleinement un passé trouble qui jette une lumière crue sur une époque où le dopage était une norme tacitement acceptée.
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